
Articles
Dans les archives
Secteurs professionnels
- agro-alimentaire
- banques et assurances
- chimie
- commerce
- construction
- éducation et recherche
- équipement-environnement
- État
- marine marchande
- métallurgie
- mines et énergie
- organismes sociaux
- poste et télécom
- presse et communication
- rail et transports
- santé et action sociale
- services publics
- sociétés d’étude
- spectacle et culture

En grande parte financé par une hausse du temps de travail des cadres et une baisse du télétravail, le « contrat social France » 2025-2027 du groupe n'a pas été signé par la Cgt.
Près de 5,3 millions de travailleurs employés par des entreprises de moins de 11 salariés sont appelés à voter jusqu’au 9 décembre pour désigner les syndicats qui les représenteront. Pour les cadres, cette élection revêt un enjeu de reconnaissance.
Comment, sur le terrain, syndicats et médecins du travail peuvent-ils travailler pour réduire l’impact du travail sur la santé ? Complexes, les pratiques se heurtent à la stratégie de destruction de la médecine du travail et à sa perte d’indépendance, sur fond d’assèchement des effectifs. Au mépris de la prévention primaire.

Stress, épuisement, troubles musculosquelettiques, cancers : pathologies psychiques et physiques se cumulent pour endommager les capacités de chacune et chacun à réaliser son travail. Si les femmes sont particulièrement exposées, la dégradation des conditions de travail est générale. Comment y répondre ? Propositions.

En grande parte financé par une hausse du temps de travail des cadres et une baisse du télétravail, le « contrat social France » 2025-2027 du groupe n’a pas été signé par la Cgt.

D’un côté, des besoins exponentiels ; de l’autre, des effectifs qui évoluent peu, à l’instar des salaires. Partout, les moyens manquent et les files d’attente s’allongent. Mobilisée le 23 mai, la profession veut faire respecter ses spécificités et sa qualification.

En 2022, les États-Unis ont connu 23 conflits syndicaux qualifiés de majeurs, car concernant plus de 1 000 salariés, contre 16 par an, en moyenne, durant les deux décennies précédentes. Que se passe-t-il outre-Atlantique ? Entretien avec Donna Kesselman, sociologue du travail, professeure à l’université Paris-Est Créteil et spécialiste des droits sociaux aux États-Unis.

Un chaos règlementaire savamment entretenu menace leur emploi, voire leur droit au séjour : ils et elles ont arraché un sursis au-delà du 31 décembre 2023. Et après ?

À Crolles, près de Grenoble, l’agrandissement de l’usine de puces mobilise des riverains inquiets de la quantité d’eau nécessaire à son activité. Interpellés, les salariés réfléchissent eux aussi aux conditions de leur activité.