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Les maux non reconnus, le manque de prévention, les difficultés de la médecine du travail à l’hôpital : ce diagnostic impose un renforcement du lien entre syndicats et médecins du travail.

Des centaines de salariés du secteur se sont mobilisés à travers toute la France. Pour ces professions encore jeunes, cette mobilisation, à l’appel de l’intersyndicale Stjv, Cgt et Solidaires, ouvre une nouvelle perspective de syndicalisation.
Près de 5,3 millions de travailleurs employés par des entreprises de moins de 11 salariés sont appelés à voter jusqu’au 9 décembre pour désigner les syndicats qui les représenteront. Pour les cadres, cette élection revêt un enjeu de reconnaissance.
Comment, sur le terrain, syndicats et médecins du travail peuvent-ils travailler pour réduire l’impact du travail sur la santé ? Complexes, les pratiques se heurtent à la stratégie de destruction de la médecine du travail et à sa perte d’indépendance, sur fond d’assèchement des effectifs. Au mépris de la prévention primaire.

Stress, épuisement, troubles musculosquelettiques, cancers : pathologies psychiques et physiques se cumulent pour endommager les capacités de chacune et chacun à réaliser son travail. Si les femmes sont particulièrement exposées, la dégradation des conditions de travail est générale. Comment y répondre ? Propositions.

Face à une direction qui souhaite limiter le télétravail à deux jours hebdomadaires, l’intersyndicale de l’entreprise de jeux vidéo a appelé les salariés à cesser le travail du 15 au 17 octobre.

D’un côté, des besoins exponentiels ; de l’autre, des effectifs qui évoluent peu, à l’instar des salaires. Partout, les moyens manquent et les files d’attente s’allongent. Mobilisée le 23 mai, la profession veut faire respecter ses spécificités et sa qualification.

Un chaos règlementaire savamment entretenu menace leur emploi, voire leur droit au séjour : ils et elles ont arraché un sursis au-delà du 31 décembre 2023. Et après ?

Derrière leur revendication, les infirmières et infirmiers anesthésistes diplômés d’État (Iade) défendent le maintien d’une prise en charge hospitalière exigeante, par des professionnels suffisamment formés. À contre courant d’une politique de transfert des prérogatives médicales vers le paramédical.