Une cinquantaine d’artistes, dont près de la moitié sont des femmes, naguère encore catalogués comme « naïfs », illustrent la vitalité d’un art populaire qui signifie avec force l’identité de leur pays.
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Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.
La comédienne, passionnée par l’univers du cabaret que pratiqua un temps la grande dame infiniment libre de la littérature française, lui consacre un spectacle en toute gratitude.
Au Musée des arts décoratifs, une exposition remarquablement pensée explore ce thème insolite, riche d’une multitude de significations, qui en disent long sur les variations épisodiques des mentalités en Occident.
C’est la deuxième édition du festival du Théâtre de verdure, qui propose treize spectacles et sept concerts, dans un cadre d’exception situé au cœur du jardin Shakespeare.
C’est, dans la ville de Cézanne, la 19e édition des Rencontres du 9e art, au cours desquelles huit artistes programmateurs donnent le ton d’une manifestation qui, avec plus de trente auteurs invités, témoigne de la vitalité de la création.
Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme consacre une exposition à ce grand photographe qui, de 1930 à 1950, ne cessa de créer, en Europe et aux États-Unis, en dépit des turbulences de l’Histoire.
Pour la soirée de clôture de la 5e saison de la Biennale d’art et de culture, il est prévu qu’un bouquet final extraordinaire et biodégradable illumine la nuit.
La nuit est le thème de la 3e édition de cette biennale, qui va permettre à une soixantaine d’artistes de s’adresser à tous publicsà Aix-en-Provence, Marseille et Avignon.
Après deux années de pandémie et à l’heure d’une montée de la violence dans le monde, la manifestation se place délibérément sous le double signe de l’envie de vivre et de la découverte.
À partir de deux pièces du grand auteur russe, Le Génie des bois et Oncle Vania, le metteur en scène Clément Poirée propose une réflexion sur le suicide, comparé à l’amertume d’une vie de long renoncement.