De nombreux salariés « portés » auraient été victimes d’un système de surfacturation adossé à des frais de gestion cachés. Les trois organisations disent « stop ».
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L’été arrive à point nommé pour de nombreux salariés au bord de l’épuisement. Entre ceux qui s’arrêtent à temps et ceux qui continuent de travailler au risque du burn-out, le gouvernement refuse de se confronter à la réalité. Et préfère désigner des coupables : non pas l’intensification du travail mais les médecins qui prescriraient trop d’arrêts maladie. Tollé.
Pour les salariés, moins de stress et d’épuisement professionnel. Pour les entreprises, une augmentation de la productivité et une diminution de l’absentéisme. Expérimentées pendant six mois, les trente-deux heures sont appelées à se développer.
Parce que le droit ne protège pas suffisamment les victimes, notamment de violences sexistes et sexuelles, la France doit beaucoup mieux faire.
À Cannes, le discours de Justine Triet, récompensée par la Palme d’or, a relancé le débat sur le financement du cinéma français et soulevé une virulente polémique autour du thème de l’« ingratitude » supposée de la réalisatrice.
En prenant appui sur un document d’orientation largement adopté, la secrétaire générale annonce une grande campagne de syndicalisation. Celle-ci doit permette à l’organisation de franchir un nouveau cap, dans le contexte d’une lutte inédite contre la réforme des retraites.
Pétitions, manifestations, grèves, débrayages… Pour pour obtenir des augmentations de salaires, les actions collectives paient. Deux chercheurs le démontrent dans une étude originale qui mesure les effets de la mobilisation – ou de la non-mobilisation – des salariés. Entretien avec l’un d’eux, Jérôme Pélisse, professeur des universités à Sciences Po Paris, sociologue au Centre de sociologie des organisations.
Création de France Travail, réforme des lycées professionnels ou Pacte pour les enseignants… les 100 jours d’« apaisement » ont commencé par proposer à la « négociation » des thèmes qui clivent.
Va-t-on vers une nouvelle crise financière ? Si les autorités financières se montrent rassurantes, le risque n’est pas totalement écarté. La faillite de quatre banques met en lumière les graves insuffisances des règles mises en place après 2008.
Menaces sur la liberté de manifester, interpellations abusives, remise en question des subventions accordées aux associations… En France mais aussi à l’étranger, les méthodes du gouvernement interrogent sur l’état de la démocratie.
Exposés à des risques professionnels physiques ou psychosociaux, 9 millions de salariés ne se sentent pas capables de faire le même travail jusqu’à la retraite.
Après le regain de mobilisation du 23 mars, l’intersyndicale appelle à une dixième journée de manifestations et de grèves, dès le mardi 28 mars : jusqu’au retrait de la réforme.