
Le musée Réattu, à Arles, expose plus de 70 œuvres de cette artiste suisse, qui met en scène, dans son studio, ses « géométries du silence » en grand format.
Le musée Réattu, à Arles, expose plus de 70 œuvres de cette artiste suisse, qui met en scène, dans son studio, ses « géométries du silence » en grand format.
La Maison de l’Amérique latine révèle la figure de Jean-Baptiste Debret (1768-1848), émigré à Rio de Janeiro, qui fut durant quinze ans le témoin d’une société esclavagiste qu’il a représentée sur des aquarelles qui continuent d’inspirer des plasticiens contemporains.
Au musée Maillol, sous le titre « Instants donnés », la rétrospective du grand photographe révèle, sous tous les angles, la profondeur de son talent proprement humaniste.
Le musée Jacquemart-André expose une quarantaine de tableaux de cette artiste sans pareille, qui a su en son temps mener sa barque avec génie, aussi bien dans son existence que dans son œuvre.
À Eymoutiers (Haute-Vienne), l’année du centenaire de la naissance du poète combattant (1924-2017) se prolonge, grâce à une exposition qui dit tout sur sa vie d’exception.
De 1950 à 2000, la capitale française a été le carrefour de rencontres intenses. Les 150 artistes afro-ascendants exposés, pour la plupart méconnus, ont créé ardemment à l’époque des luttes anticoloniales, pour les droits civiques et contre l’apartheid.
C’est quasiment ce qui a lieu au musée d’art et d’histoire du judaïsme, où l’exposition « Vérité et justice » explore les tenants et aboutissants de cet épisode inoubliable de honte nationale.
La Maison européenne de la photographie présente la première rétrospective de l’œuvre de l’artiste britannique Dennis Morris, qui a notamment portraituré Bob Marley et les Sex Pistols dans les années 1970.
Le Centre Pompidou consacre une exposition monographique, riche de plus de 200 œuvres, à cette artiste à l’itinéraire singulier, tôt reconnue par Degas et qui a su, notamment, porter sur le nu un regard proprement féminin.
Confrontée aux avant-gardes artistiques parisiennes, cette peintre brésilienne inventa dans les années 1920, sous des formes multiples, une expression résolument moderne, propre à son pays natal. Le musée du Luxembourg lui consacre une rétrospective.
On connaissait le poète de l’enfance enchantée, le parolier, le brillant scénariste, l’étincelant dialoguiste… On découvre aujourd’hui, avec grand plaisir, l’ami des grands peintres de son temps et le « rêveur d’images » qu’il fut toute sa vie.