
Avec le retournement spectaculaire dans l’ordre d’arrivée des partis entre le premier et second tour, les résultats des élections législatives
Avec le retournement spectaculaire dans l’ordre d’arrivée des partis entre le premier et second tour, les résultats des élections législatives
À l’inverse de ce que l’on croit généralement, cette époque, encore trop souvent jugée obscure, a connu, notamment à partir du XIIIe siècle, des règles de salubrité avec les moyens du bord. En témoigne une exposition à Paris, dans la tour Jean-sans-Peur.
Le musée Joseph-Déchelette expose les œuvres dont le critique d’art Camille Benoît (1851-1923), compositeur et conservateur au Louvre, fit généreusement don, en 1917, à sa ville natale.
C’est, dans le musée consacré au grand sculpteur, la question à laquelle l’exposition « Corps In-visibles » apporte plusieurs réponses passionnantes.
Cet artiste d’aujourd’hui, rompu à toutes les techniques de la gravure et de la peinture, héritier reconnu d’illustres devanciers, est exposé en grand à Paris, dans les locaux du site Richelieu.
Les animateurs de cette galerie indépendante vouée à l’art photographique, fondée il y a quarante-trois ans, se voient forcés de mettre la clé sous la porte.
Cette artiste, à la croisée du cirque, du cinéma, de la danse et du théâtre, parvient à créer, dans Ombres portées, un univers acrobatique autour d’une réflexion aiguë sur la quête d’identité et la construction de soi.
La pièce mise en scène par Liza Guez s’inspire d’une pratique thérapeutique passant par le corps et par le jeu pour mettre les souffrances psychiques à distance.
Au Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, 140 de ses œuvres racontent cinquante ans d’une carrière placée sous le signe de la patience et du long temps de pose.
Dans le Bassin d’Arcachon on garde les « Cadences » Du 17 au 22 septembre, ce festival reflétant la pluralité de l’expression chorégraphique accueille des compagnies renommées et des artistes dits émergents.
Au musée des Arts décoratifs, 700 œuvres et objets divers récapitulent la fondation et la prospérité de ces temples de la consommation qu’Émile Zola fit entrer dans la littérature en 1883 avec Au bonheur des dames.