Le musée Jacquemart-André héberge, jusqu’au 5 janvier 2025, une partie de la prodigieuse collection amassée à Rome, dans sa somptueuse galerie, par le cardinal Scipione Caffarelli-Borghese.
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Sous la forme d’un labyrinthe, l’exposition du Centre Pompidou répertorie les phases successives et les obsessions du mouvement, qui a durablement prouvé que « l’œil existe à l’état sauvage ».

Au Studio Hébertot, la comédienne Catherine Pietri s’empare des mots de Barbara, tirés de son livre Il était un piano noir, dans lequel elle a révélé toute sa force d’âme.

Cette artiste, à la croisée du cirque, du cinéma, de la danse et du théâtre, parvient à créer, dans Ombres portées, un univers acrobatique autour d’une réflexion aiguë sur la quête d’identité et la construction de soi.
Jusqu’au mois de janvier, « Chroniques », la Biennale consacrée à toutes les formes d’art liées aux technologies, a lieu à Aix-en-Provence, Marseille, Avignon, Arles et Istres.

La pièce mise en scène par Liza Guez s’inspire d’une pratique thérapeutique passant par le corps et par le jeu pour mettre les souffrances psychiques à distance.

Au musée Guimet, une exposition inédite met en lumière des trésors de l’orfèvrerie chinoise qui remontent à l’époque où fut édifiée la Cité interdite et bâti l’essentiel de la Grande Muraille.

Au musée de Montmartre, on refait le parcours d’un peintre encore méconnu, parti du postimpressionnisme, tenant du fauvisme puis du cubisme, qui finit en pionnier de l’art abstrait.


Au théâtre Essaïon, Jean-Baptiste Artigas joue et met en scène La Chute, adaptation du roman paru en 1956, un an avant que son auteur ne reçoive le prix Nobel de littérature.

La comédienne Hélène Arié, à partir du chef-d’œuvre littéraire de James Joyce, fait la part belle à Molly, moderne Pénélope.

Cette artiste d’origine iranienne dévoile, à travers ses toiles, un univers féminin magnifié, purgé de tout assujettissement à des règles et interdictions.