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À travers trois cycles fictionnels, Franck et Vautrin, Pierre Lemaitre ou encore Gérard Mordillat inscrivent leurs personnages dans l’Histoire afin de mieux secouer le présent.
Un réalisateur moyen ambitionne de tourner un film moyen, dans un univers qui ne l’est pas du tout, et Jean Echenoz nous régale de ce récit rocambolesque et très second degré. Dahlia de la Cerda, elle, libère, en autant de nouvelles intenses, la colère de treize Mexicaines façonnées par la violence patriarcale.
Sylvain Prudhomme a retranscrit les paroles des automobilistes qui l’ont pris en stop et transporté sur 2 500 kilomètres, du Pacifique au golfe du Mexique. Une longue virée documentaire sur l’Amérique de la frontière, portée par un souffle politique et poétique.
La guerre civile qui déchira le pays pendant la « décennie noire » des années 1990 inspire à Kamel Daoud un roman à la première personne, autour d’une rescapée du massacre de Had Chekala. Un livre coup de poing, pour faire remonter une mémoire proscrite par la politique de réconciliation nationale.
Sur une plage du littoral normand, un cadavre exhumé par une pelleteuse fait basculer la vie de la narratrice. Maylis de Kerangal fait la cartographie d’une ville fantôme, louvoyant entre le cataclysme de 1944 et les montagnes de containers de notre temps.
Cécile Coulon dépeint un inquiétant hameau, où un guérisseur se frotte à de dangereux secrets. Quant à Pierric Bailly, il plante sur les flancs du Jura une histoire d’amour aussi inattendue qu’irrésistible.

Un juif roumain se voit assigner une mission impossible par un démon, dans un XXe siècle infernal ; une jeune Iranienne qui dresse le poing en criant « Femme, vie, liberté » ; un homosexuel iranien qui songe à devenir femme pour avoir le droit d’aimer ; un Napolitain incarcéré qui raconte sa vie cabossée par le menu… Quatre personnages denses qui émergent de la rentrée littéraire.
Les ouvrages qui poussent au fou-rire sont rares. Souvent ils font juste sourire, divertissent, et se montrent efficaces en cela. Et parfois, ils sont bien plus profonds qu’il n’y paraît.
Le comédien a tiré un livre de la maladie auto-immune dont il souffre : « Le son du mot alopécie ressemble à une petite laine qu’on met sur soi, les premiers jours d’automne. « “Mets donc ton alopécie, mon chéri, il y a du vent.” »