À l’index de l’égalité professionnelle, sa note est quasi parfaite. Et pourtant : écarts salariaux persistants, inexistence d’objectifs de résorption des inégalités… La Maison ronde cumule les insuffisances. Les syndicats demandent « de mettre fin à une politique d’affichage ».
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« Atteindre le plein-emploi, c’est le nouvel objectif que la France doit se fixer », assure-t-on à l’Élysée. Soit. Mais de quel emploi parle-t-on ?
Le nouveau dispositif d’aide aux moins de 25 ans le confirme : donner plus d’autonomie aux jeunes n’est pas à l’ordre du jour.
Deux ans de réforme Blanquer ont annulé vingt ans de progression des filles dans les bacs scientifiques. Ce qui compromet leur accès à certaines filières sélectives. CQFD ?
Il est censé faire disparaître les écarts injustifiés de salaire entre les femmes et les hommes. En réalité, l’index de l’égalité professionnelle cumule défauts et effets pervers. À tel point qu’il pourrait même constituer un obstacle à certains progrès.
Mobilisés début février à l’appel de tous les syndicats de l’organisme pour réclamer une augmentation des salaires, les personnels sont aussi dans un conflit éthique, nourri par la réforme de l’assurance chômage.
Pour le pouvoir d’achat : c’est désormais en son nom, dans une myriade de propositions plus ou moins dangereuses, que les libéraux continuent à vouloir désintégrer le modèle social français.
Comment créer le contact entre livreurs, managers et ingénieurs ? Il faut d’abord de la motivation, puis de la ténacité pour instaurer un dialogue, à partir des situations de travail des uns et des autres. Reportage.
Promis par Nokia en 2015, le centre mondial de compétences n’a toujours pas vu le jour. La faute aux difficultés de recrutement ? Au refus, surtout, d’assurer aux ingénieurs des formations de haut niveau, dénonce la Cgt.
Main-d’œuvre, produits industriels, matières premières… Dans cette nouvelle édition, nous avons choisi de nous interroger sur la notion de « pénurie ».
Le gouvernement a promis des mesures rapides et fortes pour la mi-février afin d’améliorer les conditions de travail des professionnels de l’animation et permettre de combler les milliers de postes à pourvoir. Va-t-il répondre aux attentes de tout un secteur mobilisé depuis plus d’un an ?
Parce que ce contrat ne donnerait pas les moyens humains et financiers de répondre aux enjeux de la filière, l’intersyndicale Cfdt, Cfe-Cgc et Cgt, dans une pétition, lance l’alerte.