
À Montreuil, dans le centre d’art contemporain qui porte son nom, hommage est rendu au dessinateur de presse assassiné, le 7 janvier 2015, dans les locaux de Charlie hebdo.
À Montreuil, dans le centre d’art contemporain qui porte son nom, hommage est rendu au dessinateur de presse assassiné, le 7 janvier 2015, dans les locaux de Charlie hebdo.
Longtemps effacé, ce maître lorrain du XVIIe siècle, aujourd’hui célébré à sa juste hauteur, fait l’objet, avec une vingtaine de tableaux, d’une exposition éclairante au musée Jacquemart André.
Le musée Réattu, à Arles, expose plus de 70 œuvres de cette artiste suisse, qui met en scène, dans son studio, ses « géométries du silence » en grand format.
La Maison de l’Amérique latine révèle la figure de Jean-Baptiste Debret (1768-1848), émigré à Rio de Janeiro, qui fut durant quinze ans le témoin d’une société esclavagiste qu’il a représentée sur des aquarelles qui continuent d’inspirer des plasticiens contemporains.
Au musée Maillol, sous le titre « Instants donnés », la rétrospective du grand photographe révèle, sous tous les angles, la profondeur de son talent proprement humaniste.
Le musée Jacquemart-André expose une quarantaine de tableaux de cette artiste sans pareille, qui a su en son temps mener sa barque avec génie, aussi bien dans son existence que dans son œuvre.
À l’Institut du monde arabe, la figure mystérieuse de la reine d’Égypte, depuis des siècles objet de tous les fantasmes, se voit magnifiquement radiographiée sous tous les angles.
À Eymoutiers (Haute-Vienne), l’année du centenaire de la naissance du poète combattant (1924-2017) se prolonge, grâce à une exposition qui dit tout sur sa vie d’exception.
L’Institut du monde arabe expose des « trésors sauvés » du territoire sous les bombes, précieux vestiges qui prouvent, à l’envi, une richesse artistique vieille de cinq mille ans.
À Sète, le Musée international des arts modestes met en valeur, dans l’exposition « Superbemarché », une multitude d’images imprimées à but commercial, le plus souvent anonymes, qui entourent les agrumes. Des artistes reconnus n’y sont pas indifférents.
De 1950 à 2000, la capitale française a été le carrefour de rencontres intenses. Les 150 artistes afro-ascendants exposés, pour la plupart méconnus, ont créé ardemment à l’époque des luttes anticoloniales, pour les droits civiques et contre l’apartheid.