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Les maux non reconnus, le manque de prévention, les difficultés de la médecine du travail à l’hôpital : ce diagnostic impose un renforcement du lien entre syndicats et médecins du travail.

Deux jours non-stop d’information syndicale sous forme de brainstorming, pour croiser les vécus et les analyses d’experts invités : la Cgt-Ign innove pour stimuler son contre-projet !

Des centaines de salariés du secteur se sont mobilisés à travers toute la France. Pour ces professions encore jeunes, cette mobilisation, à l’appel de l’intersyndicale Stjv, Cgt et Solidaires, ouvre une nouvelle perspective de syndicalisation.
Comment, sur le terrain, syndicats et médecins du travail peuvent-ils travailler pour réduire l’impact du travail sur la santé ? Complexes, les pratiques se heurtent à la stratégie de destruction de la médecine du travail et à sa perte d’indépendance, sur fond d’assèchement des effectifs. Au mépris de la prévention primaire.

Stress, épuisement, troubles musculosquelettiques, cancers : pathologies psychiques et physiques se cumulent pour endommager les capacités de chacune et chacun à réaliser son travail. Si les femmes sont particulièrement exposées, la dégradation des conditions de travail est générale. Comment y répondre ? Propositions.

Face à une direction qui souhaite limiter le télétravail à deux jours hebdomadaires, l’intersyndicale de l’entreprise de jeux vidéo a appelé les salariés à cesser le travail du 15 au 17 octobre.

D’un côté, des besoins exponentiels ; de l’autre, des effectifs qui évoluent peu, à l’instar des salaires. Partout, les moyens manquent et les files d’attente s’allongent. Mobilisée le 23 mai, la profession veut faire respecter ses spécificités et sa qualification.

Depuis novembre 2023, plusieurs grèves ont dénoncé le déficit en personnel et le recours croissant à l’intelligence artificielle. Les erreurs de prévision qui en résultent peuvent avoir de graves conséquences.

Un chaos règlementaire savamment entretenu menace leur emploi, voire leur droit au séjour : ils et elles ont arraché un sursis au-delà du 31 décembre 2023. Et après ?