
Articles
Dans les archives
Secteurs professionnels
- agro-alimentaire
- banques et assurances
- chimie
- commerce
- construction
- éducation et recherche
- équipement-environnement
- État
- marine marchande
- métallurgie
- mines et énergie
- organismes sociaux
- poste et télécom
- presse et communication
- rail et transports
- santé et action sociale
- services publics
- sociétés d’étude
- spectacle et culture
Comment, sur le terrain, syndicats et médecins du travail peuvent-ils travailler pour réduire l’impact du travail sur la santé ? Complexes, les pratiques se heurtent à la stratégie de destruction de la médecine du travail et à sa perte d’indépendance, sur fond d’assèchement des effectifs. Au mépris de la prévention primaire.

Stress, épuisement, troubles musculosquelettiques, cancers : pathologies psychiques et physiques se cumulent pour endommager les capacités de chacune et chacun à réaliser son travail. Si les femmes sont particulièrement exposées, la dégradation des conditions de travail est générale. Comment y répondre ? Propositions.

Le 2 septembre 2004, un chef d’entreprise agricole assassinait deux agents de contrôle à Saussignac, en Dordogne. Vingt ans après ces deux meurtres, l’intersyndicale du ministère du Travail a organisé des commémorations revendicatives.

D’un côté, des besoins exponentiels ; de l’autre, des effectifs qui évoluent peu, à l’instar des salaires. Partout, les moyens manquent et les files d’attente s’allongent. Mobilisée le 23 mai, la profession veut faire respecter ses spécificités et sa qualification.

La guerre à Gaza provoque une crise inédite en mer Rouge où les houthis attaquent les navires de commerce. Si les armateurs français évitent désormais cette zone dangereuse, où le trafic a chuté de 42 %, de nombreux marins asiatiques restent contraints d’y travailler.

Un chaos règlementaire savamment entretenu menace leur emploi, voire leur droit au séjour : ils et elles ont arraché un sursis au-delà du 31 décembre 2023. Et après ?

Derrière leur revendication, les infirmières et infirmiers anesthésistes diplômés d’État (Iade) défendent le maintien d’une prise en charge hospitalière exigeante, par des professionnels suffisamment formés. À contre courant d’une politique de transfert des prérogatives médicales vers le paramédical.

C’est en suivant le fil rouge de la reconnaissance salariale qu’une recherche-action de l’Ires pour la Cgt a posé les enjeux d’un investissement massif dans le secteur du soin et du lien aux autres.

La Cgt de l’établissement girondin a rassemblé 68,33 % des votants aux élections professionnelles fin 2022. Le fruit d’une combativité sans relâche des personnels pour défendre leur indispensable travail.