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Les maux non reconnus, le manque de prévention, les difficultés de la médecine du travail à l’hôpital : ce diagnostic impose un renforcement du lien entre syndicats et médecins du travail.

Des centaines de salariés du secteur se sont mobilisés à travers toute la France. Pour ces professions encore jeunes, cette mobilisation, à l’appel de l’intersyndicale Stjv, Cgt et Solidaires, ouvre une nouvelle perspective de syndicalisation.

En grande parte financé par une hausse du temps de travail des cadres et une baisse du télétravail, le « contrat social France » 2025-2027 du groupe n'a pas été signé par la Cgt.
Comment, sur le terrain, syndicats et médecins du travail peuvent-ils travailler pour réduire l’impact du travail sur la santé ? Complexes, les pratiques se heurtent à la stratégie de destruction de la médecine du travail et à sa perte d’indépendance, sur fond d’assèchement des effectifs. Au mépris de la prévention primaire.

Stress, épuisement, troubles musculosquelettiques, cancers : pathologies psychiques et physiques se cumulent pour endommager les capacités de chacune et chacun à réaliser son travail. Si les femmes sont particulièrement exposées, la dégradation des conditions de travail est générale. Comment y répondre ? Propositions.

Face à une direction qui souhaite limiter le télétravail à deux jours hebdomadaires, l’intersyndicale de l’entreprise de jeux vidéo a appelé les salariés à cesser le travail du 15 au 17 octobre.

En grande parte financé par une hausse du temps de travail des cadres et une baisse du télétravail, le « contrat social France » 2025-2027 du groupe n’a pas été signé par la Cgt.

D’un côté, des besoins exponentiels ; de l’autre, des effectifs qui évoluent peu, à l’instar des salaires. Partout, les moyens manquent et les files d’attente s’allongent. Mobilisée le 23 mai, la profession veut faire respecter ses spécificités et sa qualification.

Lors des Négociations annuelles obligatoires, les propositions de la direction ont été rejetées par les salariés. Elles interviennent après l’annonce d’un plan de suppression de 1500 emplois dans le monde, dont 293 en France.