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Ce jeune prodige néerlandais mourut foudroyé par la maladie à 21 ans. Il a tout de même eu le temps de laisser son nom à une riche tactique de défense. par Éric Birmingham
Le nom de ce champion hongrois est resté lié, dans la mythologie des échecs, à une ouverture redoutable. Et pourtant, il n’a fait que réutiliser un système imaginé par un de ses adversaires.
Mikhaïl Botvinnik (1911-1995), a inauguré un demi-siècle de domination de son pays sur les échecs. Se soumettant à un entraînement extrêmement dur, il a parfois effrayé ses concurrents, qui voyaient en lui une « machine ».
Au début des années 1970, la défaite des champions soviétiques face au prodige états-unien Bobby Fischer fut une terrible humiliation. Et le châtiment s’abattit sur l’infortuné Mark Taïmanov (1926-2016).
Le 30 avril 2023, Ding Liren a succédé à Magnus Carlsen, devenant le premier Chinois à être sacré champion du monde d’échecs. Et pourtant, il s’en est fallu de peu qu’il ne puisse pas disputer le match de sa vie.
« J’ai enseigné le poker à mon chien. Malheureusement, il ne gagne jamais. Car, à chaque fois qu’il a un bon jeu, il bat de la queue. » Inscrit dans un club d’échecs, le canidé Mick, lui, ne tenta même pas un coup.