
Sous la forme d’un labyrinthe, l’exposition du Centre Pompidou répertorie les phases successives et les obsessions du mouvement, qui a durablement prouvé que « l’œil existe à l’état sauvage ».
Sous la forme d’un labyrinthe, l’exposition du Centre Pompidou répertorie les phases successives et les obsessions du mouvement, qui a durablement prouvé que « l’œil existe à l’état sauvage ».
Au Studio Hébertot, la comédienne Catherine Pietri s’empare des mots de Barbara, tirés de son livre Il était un piano noir, dans lequel elle a révélé toute sa force d’âme.
Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme consacre une importante rétrospective à cette figure mythique de l’imaginaire juif d’avant la Shoah, qui continue de hanter la scène artistique sous toutes ses formes.
Au musée de Montmartre, on refait le parcours d’un peintre encore méconnu, parti du postimpressionnisme, tenant du fauvisme puis du cubisme, qui finit en pionnier de l’art abstrait.
L’espace entier de l’illustre institution est consacré au 9e art, dans une série d’expositions qui le célèbrent sous toutes ses formes, passées et présentes.
Au musée Picasso, une exposition temporaire ressuscite la demeure parisienne mythique de ce marchand et galeriste qui la fit décorer somptueusement par Fernand Léger, Picabia, Max Ernst, Chirico et tutti quanti.
Le Musée d’art moderne de la Ville de Paris présente une importante rétrospective de l’œuvre de ce peintre, pionnier de l’abstraction puis converti, après-guerre, à l’art figuratif.
Grâce à plus de 200 œuvres, pour la plupart jamais montrées en France, on découvre la relation entretenue avec la capitale française par des artistes venus de Moyen-Orient et du Maghreb, de 1908 à 1988.
Agenda culturel de mars 2024
Après six années de travaux qui ont profondément modifié sa structure et l’agencement de ses précieuses collections, cette institution vieille de près de trois siècles invite à un parcours radicalement autre.