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C’est dans le respect des lignes architecturales du maître, et avec beaucoup de grâce, que le duo formé par la pianiste Célia Oneto Bensaid et le flûtiste Julien Beaudiment réinterprète ses plus grands airs.
La mezzo-soprano Lea Desandre et le luthiste Thomas Dunford publient un double album qui vaut surtout pour leur interprétation de John Dowland, cette perle de la Renaissance anglaise.
La violoncelliste Marie-Élisabeth Hecker et le pianiste Martin Helmchen se sont associés pour interpréter plusieurs grands auteurs slaves marqués par leurs rapports complexes au régime soviétique.
Étonnantes Suites anglaises, dont on ne sait pas vraiment à quelle période elles ont été composées (autour de 1715-1720), ni pour qui (un riche Anglais, un musicien français installé à Londres ?), et dont le caractère relève davantage du style allemand, italien, français (voire des deux, comme dans la sarabande de la deuxième suite) qu’anglais.
Quel plus beau moment de complicité partager qu’une « fantaisie » à quatre mains du maître viennois ? Les pianistes David Salmon et Manuel Vieillard en ont tiré pas moins de sept disques.
Le claveciniste Justin Taylor délaisse son instrument de prédilection pour un pianino, instrument idéal pour retrouver le son des années 1830 et la mélancolie que lui inspire le compositeur polonais.
Non ce n’est pas une énième interprétation du « Boléro ». Le quatuor espagnol Kebyart a choisi des compositions moins célèbres pour lui rendre un hommage qui nous emmène vers des horizons inattendus.
Ce baroudeur audio-naturaliste et compositeur électronique a enregistré la musique de l’Orchestre national de Lille, mais aussi tous les petits sons d’ordinaire inaudible de chaque instrumentiste. Il en a fait un collage, pour un album hybride et plein de surprises.
Pour cet ultime chef d’œuvre, le compositeur allemand n’avait spécifié aucune instrumentation. L’ensemble Phantasm en propose aujourd’hui une interprétation par un consort de violes, avec une lisibilité parfaite et une somptueuse sérénité.
