santé et action sociale
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Stress, épuisement, troubles musculosquelettiques, cancers : pathologies psychiques et physiques se cumulent pour endommager les capacités de chacune et chacun à réaliser son travail. Si les femmes sont particulièrement exposées, la dégradation des conditions de travail est générale. Comment y répondre ? Propositions.
Comment, sur le terrain, syndicats et médecins du travail peuvent-ils travailler pour réduire l’impact du travail sur la santé ? Complexes, les pratiques se heurtent à la stratégie de destruction de la médecine du travail et à sa perte d’indépendance, sur fond d’assèchement des effectifs. Au mépris de la prévention primaire.
Réaliser toujours plus de profits : après vingt ans de concentrations, le mouvement de financiarisation du secteur se traduit par des réorganisations, une intensification du travail et une pression sur les salaires. Témoignages sur le travail réel.
Un chaos règlementaire savamment entretenu menace leur emploi, voire leur droit au séjour : ils et elles ont arraché un sursis au-delà du 31 décembre 2023. Et après ?
C’est en suivant le fil rouge de la reconnaissance salariale qu’une recherche-action de l’Ires pour la Cgt a posé les enjeux d’un investissement massif dans le secteur du soin et du lien aux autres.
Derrière leur revendication, les infirmières et infirmiers anesthésistes diplômés d’État (Iade) défendent le maintien d’une prise en charge hospitalière exigeante, par des professionnels suffisamment formés. À contre courant d’une politique de transfert des prérogatives médicales vers le paramédical.
La Cgt de l’établissement girondin a rassemblé 68,33 % des votants aux élections professionnelles fin 2022. Le fruit d’une combativité sans relâche des personnels pour défendre leur indispensable travail.
Comprendre le management néolibéral, le définir, décrypter son langage et résister : lors de deux journées d’études, l’Ufmict-Cgt s’est interrogée sur une pratique au cœur des tensions entre le capital et le travail. Comment desserrer l’étau ? Débat.
Pratiquer la « bienveillance » pour mieux maltraiter, ou bien « produire » un séjour et non des soins… Pour combattre la novlangue managériale, comme le proposent les journées d’études de l’Ufmict-Cgt, il est urgent de libérer une parole discordante pour imposer un autre récit sur la réalité des vécus au travail.