
Au second tour de l’élection présidentielle, 33 % des cadres du privé et 27 % des fonctionnaires de catégorie A ont voté pour Marine Le Pen. Comprendre pourquoi et agir revêt, pour la Cgt et son Ugict, une urgence syndicale.
Au second tour de l’élection présidentielle, 33 % des cadres du privé et 27 % des fonctionnaires de catégorie A ont voté pour Marine Le Pen. Comprendre pourquoi et agir revêt, pour la Cgt et son Ugict, une urgence syndicale.
Pas une voix pour l'extrême droite : au lendemain du premier tour, la Cgt et l'Ugict réitèrent leur appel. Marine Le Pen doit être battue et les revendications du monde du travail être entendues.
Les élections législatives sonnent comme un désaveu cinglant de la politique d’Emmanuel Macron qui n’a pas de majorité pour voter ses réformes, à commencer par la retraite à 65 ans. Une bonne nouvelle, comme l’élection de nombreux députés de gauche qui pourront être les porte-voix du monde du travail et seront des points d’appuis importants pour nos luttes.
Ce ne sont plus seulement le racisme et l’exclusion qui menacent le monde du travail en Europe, mais aussi la perte de crédibilité du projet syndical. Paroles de militants.