Le nom de ce champion hongrois est resté lié, dans la mythologie des échecs, à une ouverture redoutable. Et pourtant, il n’a fait que réutiliser un système imaginé par un de ses adversaires.
Échecs
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Mikhaïl Botvinnik (1911-1995), a inauguré un demi-siècle de domination de son pays sur les échecs. Se soumettant à un entraînement extrêmement dur, il a parfois effrayé ses concurrents, qui voyaient en lui une « machine ».
Au début des années 1970, la défaite des champions soviétiques face au prodige états-unien Bobby Fischer fut une terrible humiliation. Et le châtiment s’abattit sur l’infortuné Mark Taïmanov (1926-2016).
Le 30 avril 2023, Ding Liren a succédé à Magnus Carlsen, devenant le premier Chinois à être sacré champion du monde d’échecs. Et pourtant, il s’en est fallu de peu qu’il ne puisse pas disputer le match de sa vie.
« J’ai enseigné le poker à mon chien. Malheureusement, il ne gagne jamais. Car, à chaque fois qu’il a un bon jeu, il bat de la queue. » Inscrit dans un club d’échecs, le canidé Mick, lui, ne tenta même pas un coup.
La championne ukrainienne Natalia Joukova n’a plus guère le temps de se concentrer sur l’échiquier. Depuis l’invasion de son pays, elle a mis ses compétences au service de la municipalité d’Odessa.