
Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.
Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.
Il s’agit de pièces provenant de la fameuse collection du Victoria & Albert Museum de Londres, qui illustrent les relations complexes entre l’Angleterre et le continent tout au long du Moyen Âge.
Dans la plus ancienne des institutions françaises, sise quai de Conti, se tient une exposition d’envergure qui explore, jusque dans les moindres recoins, l’histoire des formes et celle des fonds.
Dans cette ville considérée comme la capitale du 8e art, la grande institution des berges du Rhône met à l’honneur l’œuvre de Jacques Léonard (1909-1994) et 120 portraits issus de la collection Florence et Damien Bachelot.
Au musée Jacquemart-André, c’est la première exposition en France de ce grand maître de la couleur et de la lumière, qui n’a cessé d’ouvrir les yeux au milieu de ses pairs, dans une période élue de la Renaissance.
Au Musée des arts décoratifs, une exposition remarquablement pensée explore ce thème insolite, riche d’une multitude de significations, qui en disent long sur les variations épisodiques des mentalités en Occident.
Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme expose la vie et l’œuvre de l’humoriste, dont la géniale loufoquerie n’a jamais exclu la gravité et l’engagement aux heures les plus noires de l’histoire de France.
Une exposition de haut vol met en lumière des artistes et poétesses pour la plupart méconnues qui, des années 1930 aux années 2000, ont adopté et mis en pratique les préceptes du grand mouvement de libération de l’inconscient.
Au Centre Pompidou, près de 200 œuvres participent à la rétrospective de cette artiste qui, au XXe siècle, a magnifiquement poussé la sculpture dans ses derniers retranchements.
La Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou met en lumière la quête du « mot exact », chez cet artiste complet, auteur de plus de 500 chansons, qui a cultivé la langue française avec un amour sourcilleux.
La mythique ville d’Égypte, fondée par Alexandre le Grand, conquise des siècles plus tard par Bonaparte, alternant grandeur et décadence, est explorée face à la mer, jusque dans ses « futurs antérieurs ».
Au Grenier à sel, à Avignon, cet artiste expose vidéos, sculptures, dessins et installations, qui aident à porter, sur les maux dont souffre la planète, un regard teinté d’humour, non dénué de vertus poétiques.