La mythique ville d’Égypte, fondée par Alexandre le Grand, conquise des siècles plus tard par Bonaparte, alternant grandeur et décadence, est explorée face à la mer, jusque dans ses « futurs antérieurs ».
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Au Grenier à sel, à Avignon, cet artiste expose vidéos, sculptures, dessins et installations, qui aident à porter, sur les maux dont souffre la planète, un regard teinté d’humour, non dénué de vertus poétiques.
C’est la première rétrospective en France de cette artiste afro-américaine qui a entamé son œuvre dans les années 1960, au plus fort des luttes pour les droits civiques, et continue de nos jours, au sein du mouvement Black Lives Matter.
Au 100 bis, rue d’Assas à Paris, une exposition célèbre le 40e anniversaire de cette institution, dans les murs où l’artiste et son épouse, la peintre Valentine Prax, ont vécu et œuvré quarante ans durant.
Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme consacre une exposition à ce grand photographe qui, de 1930 à 1950, ne cessa de créer, en Europe et aux États-Unis, en dépit des turbulences de l’Histoire.
Des œuvres de cette artiste aux univers délicieusement étranges sont actuellement exposées au Musée d’art et d’histoire de l’hôpital Sainte-Anne.
Pour la soirée de clôture de la 5e saison de la Biennale d’art et de culture, il est prévu qu’un bouquet final extraordinaire et biodégradable illumine la nuit.
Le musée des Beaux-Arts de Lyon prouve, tableaux et dessins à l’appui, que le maître, réputé sévère, de la peinture française du XVIIe siècle, sut également faire la part belle à Éros.
Dans le musée de Paris qui lui est dédié, une exposition met en lumière les preuves d’amour partagé, pendant vingt ans, entre le peintre de génie et son enfant, née en 1935, qu’il prit plaisir à si souvent représenter.
Du 25 juin au 17 juillet, la patrie de Cézanne sera irriguée, jusque dans les moindres recoins, par toutes les formes possibles et imaginables de manifestations culturelles.
Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme met en lumière l’œuvre de celui qui sut marier avec force, entre 1917 et 1921, sa tradition d’origine et la modernité.
Au musée de l’Orangerie, comme en prélude aux Nymphéas de Monet, on peut voir, de Cézanne, Manet, Pissarro et autres maîtres d’alors, de multiples exemples de tentatives d’intégrer le beau dans la vie quotidienne.