
Cinq ans après sa disparition, le musée Réattu présente une anthologie de ce cofondateur de l’agence Gamma et artisan majeur des Rencontres de la photographie d’Arles.
Cinq ans après sa disparition, le musée Réattu présente une anthologie de ce cofondateur de l’agence Gamma et artisan majeur des Rencontres de la photographie d’Arles.
Grâce à plus de 200 œuvres, pour la plupart jamais montrées en France, on découvre la relation entretenue avec la capitale française par des artistes venus de Moyen-Orient et du Maghreb, de 1908 à 1988.
De ses débuts figuratifs jusqu’à sa peinture exclusivement faite de couleurs et de lumière, cette rétrospective de l’œuvre de l’artiste états-unien permet de prendre l’exacte mesure de son importance.
Au musée Marmottan Monet, l’art délicat de cette compagne de route des impressionnistes, placé en vis-à-vis d’œuvres de Boucher, de Fragonard et de Watteau, la révèle dans toute sa grâce inspirée.
La Maison de Balzac, à Paris, fait se rencontrer l’œuvre du grand romancier et les dessins, peintures et caricatures de Daumier.
Le collectionneur Antoine de Galbert a fait des dons réguliers à l’établissement, pour un total de 270 œuvres issues de 95 photographes, célèbres et moins connus, qu’on peut d’ores et déjà juger sur pièces.
Au musée fondé par Hervé Di Rosa et Bernard Belluc, on pourra découvrir, jusqu’au 26 mai 2024, une multitude d’œuvres et d’objets insolites patiemment réunis, pendant des années, par des gens à la curiosité sans cesse en éveil.
Cinquante ans après sa mort, en cette année où l’artiste le plus célèbre du XXe siècle est à l’honneur sur une grande échelle, le Centre Pompidou glorifie son œuvre graphique.
Une cinquantaine d’artistes, dont près de la moitié sont des femmes, naguère encore catalogués comme « naïfs », illustrent la vitalité d’un art populaire qui signifie avec force l’identité de leur pays.
Le Centre Pompidou met en valeur la peinture « animalière » de cet artiste, qui mit un point d’honneur à porter un regard froid sur la « séparation » d’avec la réalité de la nature et des choses.
Le Musée d’art moderne de Paris consacre une grande rétrospective, forte de quelque 200 pièces, à cet artiste véhément à l’inspiration sans cesse renouvelée, qui fut constamment à cheval entre la figuration et l’abstraction.
La Fondation Henri-Cartier-Bresson fête ses 20 ans d’existence et consacre une exposition à cette artiste qui, à l’âge de 17 ans, traversa seule les États-Unis, du Pacifique à l’Atlantique.