Il y a longtemps qu’on n’avait à ce point été touché par une interprétation de l’ultime œuvre du génie de Salzbourg. On la doit à l’inventivité de Raphaël Pichon, qui a imbriqué des morceaux bien assortis entre les différentes parties du Requiem.
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Le pianiste Maxime Zecchini propose une anthologie des compositions pour la main gauche. Le répertoire existe ! Il a été développé notamment après 1918, à destination de musiciens amputés. Et pourquoi davantage que la main droite ? On l’explique ici.

Pas bigot, Fauré, mais touché par la grâce, avec ce Requiem « composé pour le plaisir » pour exprimer « une délivrance heureuse ». Le Chœur de Namur, tout en pudeur et en raffinement, le sert admirablement.
À l’heure où l’Europe n’en finit plus de se barricader, des artistes tentent sans relâche de transcender les frontières.

À l’évocation de Stravinsky, on pense en premier lieu aux partitions nées de sa collaboration avec les Ballets russes de Serge Diaghilev : L’Oiseau de feu, Petrouchka, Le Sacre du printemps, écrites entre 1910 et 1913.
Tout juste bachelière, la pianiste monégasque Stella Almondo éblouit par son doigté. Son premier enregistrement est un concentré de romantisme russe, rendant notamment un hommage appuyé au trop méconnu Félix Blumenfeld.

Carlo Gesualdo, prince italien de la Renaissance, avait bien des crimes à expier. Se tournant vers la musique sacrée, il a conçu des madrigaux audacieux, imprégnés de douleur, d’amour, de mort. Philippe Herreweghe en restitue à merveille l’atmosphère hallucinée.

Fairy Queen de Purcell, La Tempête, de Beethoven, Otello de Verdi, Le Songe d’une nuit d’été de Mendelssohn, Roméo et

Il est né deux mois avant Schubert, en novembre 1796, sa renommée était l’égale de celle de l’auteur de La

Deux cents ans après la « rencontre » de Mendelssohn avec Bach, Christopher Jackson reprend son adaptation de la "Passion selon saint Matthieu". Mais quel dommage d’en avoir écarté certains des plus beaux chants.

La meilleure définition de la musique de Beethoven est peut-être celle de Romain Rolland, dans le livre qu’il lui a consacré en 1903 : « Il se dégage de lui un bonheur de la lutte. »

Ce n’est pas le nom le plus connu de la musique française, et pourtant Florent Schmitt n’a pas traversé l’histoire de la musique en coup de vent.