À Montreuil, dans le centre d’art contemporain qui porte son nom, hommage est rendu au dessinateur de presse assassiné, le 7 janvier 2015, dans les locaux de Charlie hebdo.
    À Montreuil, dans le centre d’art contemporain qui porte son nom, hommage est rendu au dessinateur de presse assassiné, le 7 janvier 2015, dans les locaux de Charlie hebdo.
    À l’Institut du monde arabe, la figure mystérieuse de la reine d’Égypte, depuis des siècles objet de tous les fantasmes, se voit magnifiquement radiographiée sous tous les angles.
    L’Institut du monde arabe expose des « trésors sauvés » du territoire sous les bombes, précieux vestiges qui prouvent, à l’envi, une richesse artistique vieille de cinq mille ans.
    Philippe Person signe la mise en scène de La Ménagerie de verre, une pièce de 1945 qui valut à Tennessee Williams, alors âgé de 34 ans, une renommée durable.
    À l’inverse de ce que l’on croit généralement, cette époque, encore trop souvent jugée obscure, a connu, notamment à partir du XIIIe siècle, des règles de salubrité avec les moyens du bord. En témoigne une exposition à Paris, dans la tour Jean-sans-Peur.
    Le musée Joseph-Déchelette expose les œuvres dont le critique d’art Camille Benoît (1851-1923), compositeur et conservateur au Louvre, fit généreusement don, en 1917, à sa ville natale.
    C’est, dans le musée consacré au grand sculpteur, la question à laquelle l’exposition « Corps In-visibles » apporte plusieurs réponses passionnantes.
    
    Cet artiste d’aujourd’hui, rompu à toutes les techniques de la gravure et de la peinture, héritier reconnu d’illustres devanciers, est exposé en grand à Paris, dans les locaux du site Richelieu.
Les animateurs de cette galerie indépendante vouée à l’art photographique, fondée il y a quarante-trois ans, se voient forcés de mettre la clé sous la porte.
    Cette artiste, à la croisée du cirque, du cinéma, de la danse et du théâtre, parvient à créer, dans Ombres portées, un univers acrobatique autour d’une réflexion aiguë sur la quête d’identité et la construction de soi.
    La pièce mise en scène par Liza Guez s’inspire d’une pratique thérapeutique passant par le corps et par le jeu pour mettre les souffrances psychiques à distance.