
Le Centre Pompidou met en valeur la peinture « animalière » de cet artiste, qui mit un point d’honneur à porter un regard froid sur la « séparation » d’avec la réalité de la nature et des choses.
Le Centre Pompidou met en valeur la peinture « animalière » de cet artiste, qui mit un point d’honneur à porter un regard froid sur la « séparation » d’avec la réalité de la nature et des choses.
Le Musée d’art moderne de Paris consacre une grande rétrospective, forte de quelque 200 pièces, à cet artiste véhément à l’inspiration sans cesse renouvelée, qui fut constamment à cheval entre la figuration et l’abstraction.
La Fondation Henri-Cartier-Bresson fête ses 20 ans d’existence et consacre une exposition à cette artiste qui, à l’âge de 17 ans, traversa seule les États-Unis, du Pacifique à l’Atlantique.
Il s’agit de pièces provenant de la fameuse collection du Victoria & Albert Museum de Londres, qui illustrent les relations complexes entre l’Angleterre et le continent tout au long du Moyen Âge.
La comédienne, passionnée par l’univers du cabaret que pratiqua un temps la grande dame infiniment libre de la littérature française, lui consacre un spectacle en toute gratitude.
Dans la plus ancienne des institutions françaises, sise quai de Conti, se tient une exposition d’envergure qui explore, jusque dans les moindres recoins, l’histoire des formes et celle des fonds.
C’est la deuxième édition du festival du Théâtre de verdure, qui propose treize spectacles et sept concerts, dans un cadre d’exception situé au cœur du jardin Shakespeare.
Dans cette ville considérée comme la capitale du 8e art, la grande institution des berges du Rhône met à l’honneur l’œuvre de Jacques Léonard (1909-1994) et 120 portraits issus de la collection Florence et Damien Bachelot.
Au musée Jacquemart-André, c’est la première exposition en France de ce grand maître de la couleur et de la lumière, qui n’a cessé d’ouvrir les yeux au milieu de ses pairs, dans une période élue de la Renaissance.