
À l’initiative d’Archaos, les habitants de neuf villes de la métropole Aix-Marseille peuvent, jusqu’au 25 février, assister aux prouesses de nombreux artistes, dont ceux appartenant à trois compagnies à domicile.
À l’initiative d’Archaos, les habitants de neuf villes de la métropole Aix-Marseille peuvent, jusqu’au 25 février, assister aux prouesses de nombreux artistes, dont ceux appartenant à trois compagnies à domicile.
De ses débuts figuratifs jusqu’à sa peinture exclusivement faite de couleurs et de lumière, cette rétrospective de l’œuvre de l’artiste états-unien permet de prendre l’exacte mesure de son importance.
Le collectionneur Antoine de Galbert a fait des dons réguliers à l’établissement, pour un total de 270 œuvres issues de 95 photographes, célèbres et moins connus, qu’on peut d’ores et déjà juger sur pièces.
Alexandra Tobelaim met en scène la pièce de l’auteur sicilien Davide Enia qui évoque, en sourdine, la périlleuse traversée de la mer par des hommes et des femmes en quête d’une meilleure existence.
Neuf interprètes se relaient pour présenter chaque soir, en alternance, des farces et pièces brèves du grand auteur russe, mises en scène par Pierre Pradinas.
Une cinquantaine d’artistes, dont près de la moitié sont des femmes, naguère encore catalogués comme « naïfs », illustrent la vitalité d’un art populaire qui signifie avec force l’identité de leur pays.
Le Centre Pompidou met en valeur la peinture « animalière » de cet artiste, qui mit un point d’honneur à porter un regard froid sur la « séparation » d’avec la réalité de la nature et des choses.
Le Musée d’art moderne de Paris consacre une grande rétrospective, forte de quelque 200 pièces, à cet artiste véhément à l’inspiration sans cesse renouvelée, qui fut constamment à cheval entre la figuration et l’abstraction.