
Le Musée d’art moderne de la Ville de Paris présente une importante rétrospective de l’œuvre de ce peintre, pionnier de l’abstraction puis converti, après-guerre, à l’art figuratif.
Le Musée d’art moderne de la Ville de Paris présente une importante rétrospective de l’œuvre de ce peintre, pionnier de l’abstraction puis converti, après-guerre, à l’art figuratif.
La meilleure définition de la musique de Beethoven est peut-être celle de Romain Rolland, dans le livre qu’il lui a consacré en 1903 : « Il se dégage de lui un bonheur de la lutte. »
Ce n’est pas le nom le plus connu de la musique française, et pourtant Florent Schmitt n’a pas traversé l’histoire de la musique en coup de vent.
La soprano lituanienne soulève l’émotion en interprétant les ultimes lieder de de Richard Strauss, accompagnée par le piano intimiste, presque crépusculaire de Markus Hinterhäuser.
On découvre avec bonheur la beauté mélodique de cet auteur franco-flamand du XVIe siècle, aussi talentueux dans la musique sacrée que dans la musique profane.
Les ouvrages qui poussent au fou-rire sont rares. Souvent ils font juste sourire, divertissent, et se montrent efficaces en cela. Et parfois, ils sont bien plus profonds qu’il n’y paraît.
Le comédien a tiré un livre de la maladie auto-immune dont il souffre : « Le son du mot alopécie ressemble à une petite laine qu’on met sur soi, les premiers jours d’automne. « “Mets donc ton alopécie, mon chéri, il y a du vent.” »
Jouer avec les blancs, c’est avoir un coup d’avance. Conserver cet avantage, consolider sa position sans coup férir, jusqu’au mat final, c’est un tour de force stratégique. Le Soviétique y parvint lors d’un tournoi de 1953 resté dans les annales.
Une bourgade perdue dans le blizzard des Alpes ; une ville portuaire du Maryland des années 1920… Et à un siècle de distance, la même fureur hideuse de la foule, dépeinte avec noirceur par Sébastien Vidal et Don Tracy.
Agenda culturel de mars 2024