Réuni·es en congrès à Metz, les ingénieur·es, cadres, technicien·nes et agent·es de maîtrise de la CGT ont affirmé une ambition claire : construire un monde émancipateur d’ici à 2050, libéré du système capitaliste et des différentes formes de domination, respectueux du vivant et de la planète.
Face à une menace imminente, renforcée par le capitalisme libertarien de Donald Trump et Elon Musk, la secrétaire générale de la CGT appelle à ne rien lâcher. Tout en saluant une Ugict « combative, féminisée et prête pour gagner ».
Chaleureusement accueillie, la secrétaire générale de la CGT, après avoir fait une analyse de la situation économique, sociale et démocratique, reprend le slogan du congrès Ugict de 2018 : « Rien n’est jamais écrit d’avance ! » Nous publions son intervention dans son intégralité.
Face aux enjeux climatiques et aux bouleversements technologiques qui changent le travail, la deuxième table ronde s’est interrogée sur les solutions concrètes et les moyens d’action.
Le mercure indique 3 °C, mais cela n’a pas découragé les congressistes de participer au happening organisé sur le parvis du
Journal de l’Ugict-CGT, Options a traversé six décennies sans jamais renoncer à son titre. Ce choix de continuité symbolique n’empêche pas le mouvement. Une exposition retrace les grandes étapes de cette aventure éditoriale et militante.
Lors de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, un amendement adopté en commission autorise, en substitut à l’arrêt maladie, une prescription médicale de télétravail. Dans cet amendement, rien ne va, ni sur la forme ni sur le fond.
« La France ? » : pour débattre du thème des rencontres annuelles de Blois, l’Ihs-Cgt et Sophie Binet, invitée d’un « Grand entretien », ont défendu la place des droits sociaux dans ce qui fonde notre identité collective, à rebours des idées réactionnaires et d’extrême droite.
Dérèglementations, reculs, montée de l’extrême droite : l’Europe sociale n’avancera pas sans l’implication au quotidien des salarié.es et de leurs syndicats, prévient Nayla Glaise, réélue présidente d’Eurocadres (*), lors de son dernier congrès.
