
Le Musée d’art moderne de Paris consacre une grande rétrospective, forte de quelque 200 pièces, à cet artiste véhément à l’inspiration sans cesse renouvelée, qui fut constamment à cheval entre la figuration et l’abstraction.
Le Musée d’art moderne de Paris consacre une grande rétrospective, forte de quelque 200 pièces, à cet artiste véhément à l’inspiration sans cesse renouvelée, qui fut constamment à cheval entre la figuration et l’abstraction.
Il s’agit de pièces provenant de la fameuse collection du Victoria & Albert Museum de Londres, qui illustrent les relations complexes entre l’Angleterre et le continent tout au long du Moyen Âge.
La Fondation Henri-Cartier-Bresson fête ses 20 ans d’existence et consacre une exposition à cette artiste qui, à l’âge de 17 ans, traversa seule les États-Unis, du Pacifique à l’Atlantique.
Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.
Dans la plus ancienne des institutions françaises, sise quai de Conti, se tient une exposition d’envergure qui explore, jusque dans les moindres recoins, l’histoire des formes et celle des fonds.
Au Musée des arts décoratifs, une exposition remarquablement pensée explore ce thème insolite, riche d’une multitude de significations, qui en disent long sur les variations épisodiques des mentalités en Occident.
Dans cette ville considérée comme la capitale du 8e art, la grande institution des berges du Rhône met à l’honneur l’œuvre de Jacques Léonard (1909-1994) et 120 portraits issus de la collection Florence et Damien Bachelot.
Au musée Jacquemart-André, c’est la première exposition en France de ce grand maître de la couleur et de la lumière, qui n’a cessé d’ouvrir les yeux au milieu de ses pairs, dans une période élue de la Renaissance.
Le Musée d’art et d’histoire du judaïsme expose la vie et l’œuvre de l’humoriste, dont la géniale loufoquerie n’a jamais exclu la gravité et l’engagement aux heures les plus noires de l’histoire de France.
Une exposition de haut vol met en lumière des artistes et poétesses pour la plupart méconnues qui, des années 1930 aux années 2000, ont adopté et mis en pratique les préceptes du grand mouvement de libération de l’inconscient.
Au Centre Pompidou, près de 200 œuvres participent à la rétrospective de cette artiste qui, au XXe siècle, a magnifiquement poussé la sculpture dans ses derniers retranchements.
La Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou met en lumière la quête du « mot exact », chez cet artiste complet, auteur de plus de 500 chansons, qui a cultivé la langue française avec un amour sourcilleux.