Liberté d'expression
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Le 7 janvier 2015, l’attentat contre le journal satirique faisait 12 morts, dont Charb, collaborateur régulier d’"Options". Une décennie après, la liberté d’expression reste un combat, singulièrement pour les dessinateurs précarisés et minés par la crise de la presse écrite.
Par Sylvie Durand, secrétaire nationale de l’Ugict-CGT Le 7 janvier 2015, avec l’attentat contre "Charlie hebdo", le journal "Options" perdait l’un de ses collaborateurs, le dessinateur Charb, et la France basculait dans l’engrenage des obscurantismes et de leur cohorte d’horreurs. Dix ans après, le plus grand bien à sécuriser reste notre liberté de conscience.
La liberté d’expression est une liberté fondamentale. Cette liberté peut être exercée par tout salarié au sein de l’entreprise, dans le cadre de certaines limites. La jurisprudence de la Cour de cassation continue de préciser le régime juridique applicable pour assurer l’effectivité de cette liberté essentielle.
Quarante ans après, les lois Auroux continuent de protéger, au travail, ce droit fondamental qu’est la liberté d’expression. Illustration avec des décisions judiciaires récentes.
Entretien avec David van der Vlist, avocat en droit du travail et secrétaire général du Syndicat des avocats de France.
La guerre n’est pas ouverte mais le conflit est latent. Dernier épisode en date : la remise d’un rapport d’une quarantaine