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Pas de syndicalisme de classe sans organisation de masse des Ictam. Cette assertion fournissait le thème de la seconde table ronde de jeudi. Sur scène, quatre délégué·es ont exposé la façon dont leurs organisations s’en sont emparé.

Depuis des décennies, les organisations patronales veulent s’attaquer aux qualifications, limiter les salaires et réduire les retraites. Pourquoi tant de haine ? Quelles conséquences sur les travailleurs et travailleuses ? Éléments de réponses.

Face aux enjeux climatiques et aux bouleversements technologiques qui changent le travail, la deuxième table ronde s’est interrogée sur les solutions concrètes et les moyens d’action.

Au terme d’un débat express de dix-huit minutes, la seconde partie du document d’orientation, portant sur les conditions de travail des Ictam, a été adoptée à l’unanimité.

Les parties 3 et 4 du document d’orientation ont été adoptées à l’unanimité – moins 5 abstentions – au terme d’une heure de débat sur les conditions de vie et la carrière des Ictam.

Responsable à la politique financière de l’Ugict durant le dernier mandat, Sylvie Durand présente les comptes des exercices clos, validés « sans réserves » par le commissaire aux comptes.

Intitulée « Quel sens donner au travail qualifié dans un monde en basculement ? », la première table ronde du congrès invite à renforcer la démocratie sociale pour lutter contre un management déconnecté et des logiques purement financières.

Le congrès a examiné et adopté le préambule du document d’orientation, soit 35 articles et 11 fiches revendicatives détaillant l’état des lieux, les stratégies et les moyens d’action.

En direct des entreprises, des administrations et des territoires, les alertes sont nombreuses, sur fond de logiques austéritaires à tous les niveaux. Elles peuvent aussi conduire à la syndicalisation.