
Parmi les calamités véhiculées par la guerre, les violences sexuelles ont longtemps été minorées ou passées sous silence. La Palestinienne Adiana Shibli et l’Ukrainienne Yuliia Iliukha en parlent chacune à leur manière, choisissant l’une la singularité, l’autre la pluralité d’une tragédie.