
Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.
Au Musée d’art et d’histoire du judaïsme (Mahj), l’auteur du Chat du rabbin, entre autres multiples réussites graphiques, est à l’honneur avec toutes ses bénéfiques obsessions.
Sur une carte, on pourrait marquer les lieux et sur une frise indiquer les époques où le romancier emmène ses personnages, mais c’est dans les plis de l’Histoire, dans la pliure des histoires, dans le contour et les rides des reliefs, qu’il niche son attention à l’autre, aux amitiés et aux amours.
Les compositeurs de musique minimaliste et répétitive lui doivent tant ! Le pianiste François Mardirossian présente une judicieuse sélection de ses émules les plus brillants.
Selon un érudit du XVIIIe siècle, la viole était l’instrument le plus à même d’imiter la voix humaine. Il est en tout cas idéal pour interpréter les maîtres de l’époque – Rameau, Couperin, Marais... – comme nous le démontre le duo Mélisande Corriveau et Susie Napper.
Grâce à une météo enchanteresse, la récolte de beaujolais 2022 a été magnifique, une des meilleures de la carrière de cette famille de vignerons.
Le nom de ce champion hongrois est resté lié, dans la mythologie des échecs, à une ouverture redoutable. Et pourtant, il n’a fait que réutiliser un système imaginé par un de ses adversaires.
Amir, rescapé de Lampedusa devenu berger, était amoureux de la fille de l’aubergiste. Qui l’a assassiné ? Corrado Fortuna nous entraîne dans l’enquête. Claudio Fava, lui, nous raconte Teresa, réfugiée à Rome pour fuir Cosa Nostra. L’ex-brigadiste avec qui elle s’est liée d’amitié pourra-t-il l’aider à venger la mort de son père ?
Le dernier fleuve sauvage d’Europe a inspiré bien des romanciers, pour la majesté de ses paysages, mais aussi pour son insoupçonnable dangerosité.
La comédienne, passionnée par l’univers du cabaret que pratiqua un temps la grande dame infiniment libre de la littérature française, lui consacre un spectacle en toute gratitude.
Dans la plus ancienne des institutions françaises, sise quai de Conti, se tient une exposition d’envergure qui explore, jusque dans les moindres recoins, l’histoire des formes et celle des fonds.