
Du 12 au 30 mars, des spectacles neufs sont à l’affiche, dans le but affirmé de montrer des œuvres contemporaines réinventées au fil d’expérimentations diverses.
Du 12 au 30 mars, des spectacles neufs sont à l’affiche, dans le but affirmé de montrer des œuvres contemporaines réinventées au fil d’expérimentations diverses.
« Faire une Ivkov » – du nom d’un grand maître yougoslave – était devenue une formule populaire dans le Belgrade des années 1970, pour évoquer une gaffe aussi monumentale qu’incompréhensible. D’autres gaffeurs durent leur défaite à une coupable désinvolture.
Après six années de travaux qui ont profondément modifié sa structure et l’agencement de ses précieuses collections, cette institution vieille de près de trois siècles invite à un parcours radicalement autre.
À Châlons-en-Champagne, sa ville natale, Cabu, maître du dessin satirique, fait l’objet d’une épatante exposition sur l’un de ses thèmes favoris.
Au musée de la Franc-maçonnerie, les œuvres de deux artistes iraniens en exil pourfendent, avec talent, le régime théocratique qui étouffe leur pays.
Cinq ans après sa disparition, le musée Réattu présente une anthologie de ce cofondateur de l’agence Gamma et artisan majeur des Rencontres de la photographie d’Arles.
Un genre aussi porté sur la critique sociale que le roman noir devait fatalement, après le passé et le présent, faire feu sur le futur. Une veine nouvelle affleure, de laquelle Hervé Le Corre extrait une contribution décisive avec Qui après nous vivrez.
Une enquête criminelle dans l’immensité et la fureur de la guerre du Pacifique ? James Kestrell relève le défi et signe un pur chef d’œuvre. On redécouvre également, en réédition, la grande plume d’Eric Ambler, qui révolutionna le roman policier dans les années 1930.
Grâce à plus de 200 œuvres, pour la plupart jamais montrées en France, on découvre la relation entretenue avec la capitale française par des artistes venus de Moyen-Orient et du Maghreb, de 1908 à 1988.
Commencé le 1er juin, le Festival du Théâtre de verdure, dont c’est la 3e édition, se poursuit jusqu’au 22 septembre.
Elle leur a promis de l’aide mais n’a pas transmis l’alerte ; ils sont morts en mer. Autour d’un fait tragique, Vincent Delecroix a écrit une fiction poignante sur la « banalité du mal ». Refusant la tentation du bouc émissaire, il interroge toute la société.