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Il y a un peu plus de trente ans, il débarquait sur une scène baroque en effervescence, sosie de Clark Kent, grand, la silhouette athlétique, le regard timide derrière des lunettes strictes.


À l’initiative d’Archaos, les habitants de neuf villes de la métropole Aix-Marseille peuvent, jusqu’au 25 février, assister aux prouesses de nombreux artistes, dont ceux appartenant à trois compagnies à domicile.

Ce volumineux récit semi-autobiographique avait fourni au cinéaste italien la trame d’Il était une fois en Amérique. Il vient seulement d’être traduit en français, et on s’en régale, sans s’interdire le jeu des comparaison avec le film.


De ses débuts figuratifs jusqu’à sa peinture exclusivement faite de couleurs et de lumière, cette rétrospective de l’œuvre de l’artiste états-unien permet de prendre l’exacte mesure de son importance.

Au musée Marmottan Monet, l’art délicat de cette compagne de route des impressionnistes, placé en vis-à-vis d’œuvres de Boucher, de Fragonard et de Watteau, la révèle dans toute sa grâce inspirée.

La claveciniste Giulia Nuti enchaîne les six « Partitas » du maître de Leipzig avec une tendresse, une pudeur et une créativité qu’on entend rarement sur cet instrument.

Lorsqu’il sort de prison, en août 1991, un adolescent soviétique découvre son pays bouleversé. Avec L’Enclave, Benoît Vitkine signe plus qu’un roman : une ample réflexion sur la liberté et les futurs possibles qui s’offraient alors à la Russie.

La violoniste Angèle Dubeau aime la musique minimaliste de ce compositeur qui, dit-elle, la fait « grandir intellectuellement et musicalement ». Elle lui consacre un second album hommage.

Fable sociale doublée d’un polar campés sur un rivage estival, Justin Coudures nous introduit dans l’univers singulier, rugueux et attachant du jeune auteur Adrien Girault, Portant en étendard la langue de son personnage, celui-ci tisse une chronique de fin d’adolescence, qui pose ses premiers mots sur ses désillusions, sa colère et son refus des déterminismes sociaux. Non sans humour.