
Du théâtre et de la musique sont au programme d’un festival qui va ouvrir l’été à la Cartoucherie de Vincennes, qui doit demeurer un espace de création de pleine activité.
Du théâtre et de la musique sont au programme d’un festival qui va ouvrir l’été à la Cartoucherie de Vincennes, qui doit demeurer un espace de création de pleine activité.
Au Musée des arts décoratifs, une exposition remarquablement pensée explore ce thème insolite, riche d’une multitude de significations, qui en disent long sur les variations épisodiques des mentalités en Occident.
Une exposition de haut vol met en lumière des artistes et poétesses pour la plupart méconnues qui, des années 1930 aux années 2000, ont adopté et mis en pratique les préceptes du grand mouvement de libération de l’inconscient.
Au Centre Pompidou, près de 200 œuvres participent à la rétrospective de cette artiste qui, au XXe siècle, a magnifiquement poussé la sculpture dans ses derniers retranchements.
Anne Clotilde Rampon et Idir Chender ont coécrit N’habite plus à l’adresse indiquée, qu’ils annoncent comme une « comédie contemporaine ». L’argument
La Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou met en lumière la quête du « mot exact », chez cet artiste complet, auteur de plus de 500 chansons, qui a cultivé la langue française avec un amour sourcilleux.
La mythique ville d’Égypte, fondée par Alexandre le Grand, conquise des siècles plus tard par Bonaparte, alternant grandeur et décadence, est explorée face à la mer, jusque dans ses « futurs antérieurs ».
Au Grenier à sel, à Avignon, cet artiste expose vidéos, sculptures, dessins et installations, qui aident à porter, sur les maux dont souffre la planète, un regard teinté d’humour, non dénué de vertus poétiques.
C’est la première rétrospective en France de cette artiste afro-américaine qui a entamé son œuvre dans les années 1960, au plus fort des luttes pour les droits civiques, et continue de nos jours, au sein du mouvement Black Lives Matter.