
Ce n’est pas le nom le plus connu de la musique française, et pourtant Florent Schmitt n’a pas traversé l’histoire de la musique en coup de vent.
Ce n’est pas le nom le plus connu de la musique française, et pourtant Florent Schmitt n’a pas traversé l’histoire de la musique en coup de vent.
Grâce à plus de 200 œuvres, pour la plupart jamais montrées en France, on découvre la relation entretenue avec la capitale française par des artistes venus de Moyen-Orient et du Maghreb, de 1908 à 1988.
La soprano lituanienne soulève l’émotion en interprétant les ultimes lieder de de Richard Strauss, accompagnée par le piano intimiste, presque crépusculaire de Markus Hinterhäuser.
Commencé le 1er juin, le Festival du Théâtre de verdure, dont c’est la 3e édition, se poursuit jusqu’au 22 septembre.
On découvre avec bonheur la beauté mélodique de cet auteur franco-flamand du XVIe siècle, aussi talentueux dans la musique sacrée que dans la musique profane.
Les ouvrages qui poussent au fou-rire sont rares. Souvent ils font juste sourire, divertissent, et se montrent efficaces en cela. Et parfois, ils sont bien plus profonds qu’il n’y paraît.
Jouer avec les blancs, c’est avoir un coup d’avance. Conserver cet avantage, consolider sa position sans coup férir, jusqu’au mat final, c’est un tour de force stratégique. Le Soviétique y parvint lors d’un tournoi de 1953 resté dans les annales.
Agenda culturel de mars 2024
Du 12 au 30 mars, des spectacles neufs sont à l’affiche, dans le but affirmé de montrer des œuvres contemporaines réinventées au fil d’expérimentations diverses.
« Faire une Ivkov » – du nom d’un grand maître yougoslave – était devenue une formule populaire dans le Belgrade des années 1970, pour évoquer une gaffe aussi monumentale qu’incompréhensible. D’autres gaffeurs durent leur défaite à une coupable désinvolture.