
Après six années de travaux qui ont profondément modifié sa structure et l’agencement de ses précieuses collections, cette institution vieille de près de trois siècles invite à un parcours radicalement autre.
Après six années de travaux qui ont profondément modifié sa structure et l’agencement de ses précieuses collections, cette institution vieille de près de trois siècles invite à un parcours radicalement autre.
À Châlons-en-Champagne, sa ville natale, Cabu, maître du dessin satirique, fait l’objet d’une épatante exposition sur l’un de ses thèmes favoris.
Au musée de la Franc-maçonnerie, les œuvres de deux artistes iraniens en exil pourfendent, avec talent, le régime théocratique qui étouffe leur pays.
Cinq ans après sa disparition, le musée Réattu présente une anthologie de ce cofondateur de l’agence Gamma et artisan majeur des Rencontres de la photographie d’Arles.
Un genre aussi porté sur la critique sociale que le roman noir devait fatalement, après le passé et le présent, faire feu sur le futur. Une veine nouvelle affleure, de laquelle Hervé Le Corre extrait une contribution décisive avec Qui après nous vivrez.
Une enquête criminelle dans l’immensité et la fureur de la guerre du Pacifique ? James Kestrell relève le défi et signe un pur chef d’œuvre. On redécouvre également, en réédition, la grande plume d’Eric Ambler, qui révolutionna le roman policier dans les années 1930.
Elle leur a promis de l’aide mais n’a pas transmis l’alerte ; ils sont morts en mer. Autour d’un fait tragique, Vincent Delecroix a écrit une fiction poignante sur la « banalité du mal ». Refusant la tentation du bouc émissaire, il interroge toute la société.
Par Éric Birmingham Il fut un champion biélorusse maudit, gommé des registres, effacé des mémoires. Pour son alcoolisme, mais surtout pour son homosexualité. L’Urss l’expédia en camp de travail, il vécut et mourut dans la misère.
Le comédien a tiré un livre de la maladie auto-immune dont il souffre : « Le son du mot alopécie ressemble à une petite laine qu’on met sur soi, les premiers jours d’automne. « “Mets donc ton alopécie, mon chéri, il y a du vent.” »
En pleine débâcle du IIIe Reich, une jeune Française et son enfant, fils d’un soldat allemand, atterrissent dans une pouponnière nazie. Solidement documentée, Caroline De Mulder nous fait vivre le quotidien d’une de ces maternités imaginées pour régénérer la race aryenne.