
Au Grenier à sel, à Avignon, cet artiste expose vidéos, sculptures, dessins et installations, qui aident à porter, sur les maux dont souffre la planète, un regard teinté d’humour, non dénué de vertus poétiques.
Au Grenier à sel, à Avignon, cet artiste expose vidéos, sculptures, dessins et installations, qui aident à porter, sur les maux dont souffre la planète, un regard teinté d’humour, non dénué de vertus poétiques.
Schumann, Verroust, Pixis… Deux hautboïstes tirent de l’oubli des partitions du premier XIXe siècle, prouvant que l’instrument n’était, à l’époque, nullement remisé au placard.
Entre revanche sociale et crime organisé, Tom Lin raconte le parcours d’un chef de la pègre chinoise, sur fond de conquête de l’Ouest. Et Denoël nous offre une nouvelle traduction française des Chiens de paille, huis clos terrifiant opposant de vindicatifs rednecks à un yankee hautain.
Comme dans une (fausse) charade, trois premiers (et excellents) romans : le premier dans un fast-food,
le second dans une usine et un abattoir,
le dernier sur le rail
le tout pour évoquer le travail…
La soprano allemande Katharina Ruckgaber embrasse, avec une espièglerie détonnante, des mélodies d’un registre plutôt sombre. Enthousiasmant.
Pas de chance, pour une question mal comprise, l’angevine Pascaline Lepeltier n’a pu accéder à la finale du concours du meilleur sommelier du monde. Elle termine à la 4e place, ce qui est déjà un exploit au regard de l’extrême difficulté de l’exercice, concernant non seulement la connaissance des vins mais aussi des alcools, des thés, des cafés, leur présentation et leur association avec les mets.
C’est la première rétrospective en France de cette artiste afro-américaine qui a entamé son œuvre dans les années 1960, au plus fort des luttes pour les droits civiques, et continue de nos jours, au sein du mouvement Black Lives Matter.
La championne ukrainienne Natalia Joukova n’a plus guère le temps de se concentrer sur l’échiquier. Depuis l’invasion de son pays, elle a mis ses compétences au service de la municipalité d’Odessa.
Autour de la grève des garçons de café parisiens, en 1907, l'artiste Mathieu Colloghan a bâti un récit graphique, riche en digressions sur la dignité et la solidarité ouvrière.
Pour interpréter Bach, Mario Brunello use à merveille de ce petit violoncelle, proche du violon alto, qui connut son heure de gloire dans la première moitié du XVIIIe siècle.