
Pas de chance, pour une question mal comprise, l’angevine Pascaline Lepeltier n’a pu accéder à la finale du concours du meilleur sommelier du monde. Elle termine à la 4e place, ce qui est déjà un exploit au regard de l’extrême difficulté de l’exercice, concernant non seulement la connaissance des vins mais aussi des alcools, des thés, des cafés, leur présentation et leur association avec les mets.