
Loin du hiératisme de ses prédécesseurs, Jérémie Rhorer donne de la "Messe solennelle" une interprétation pleine de chaleur, entre joie et recueillement.
Loin du hiératisme de ses prédécesseurs, Jérémie Rhorer donne de la "Messe solennelle" une interprétation pleine de chaleur, entre joie et recueillement.
À travers trois cycles fictionnels, Franck et Vautrin, Pierre Lemaitre ou encore Gérard Mordillat inscrivent leurs personnages dans l’Histoire afin de mieux secouer le présent.
Deux nonagénaires sont visés par des assassinats. En enquêtant, les policiers découvrent qu’ils sont d’anciens volontaires de la division SS Wiking. Et le romancier Arttu Tuominen lève un coin du voile sur une période cruelle de l’histoire de la Finlande.
C’est, dans le musée consacré au grand sculpteur, la question à laquelle l’exposition « Corps In-visibles » apporte plusieurs réponses passionnantes.
Clea Petrolesi a écrit et met en scène Personne n’est ensemble sauf moi, un spectacle qui est une ode à la différence et brouille les pistes avec délicatesse.
Cet artiste d’aujourd’hui, rompu à toutes les techniques de la gravure et de la peinture, héritier reconnu d’illustres devanciers, est exposé en grand à Paris, dans les locaux du site Richelieu.
Le pianiste Maxime Zecchini propose une anthologie des compositions pour la main gauche. Le répertoire existe ! Il a été développé notamment après 1918, à destination de musiciens amputés. Et pourquoi davantage que la main droite ? On l’explique ici.
L’ex-Terminator l’a défié sur l’échiquier, et l’ex-boxeur l’a emporté. Hasta la vista, baby !
Une équipe d’enquêteurs est confrontée à une triple affaire de suicide suspect, de momie incongrue et de disparition de l’épouse de son commandant dans une compétition de handisport au Japon. Intrigue complexe, écriture fluide, forte empathie pour ses personnages : tout séduit chez Benoît Séverac.
Un réalisateur moyen ambitionne de tourner un film moyen, dans un univers qui ne l’est pas du tout, et Jean Echenoz nous régale de ce récit rocambolesque et très second degré. Dahlia de la Cerda, elle, libère, en autant de nouvelles intenses, la colère de treize Mexicaines façonnées par la violence patriarcale.
En adaptant Vie et Destin, le Théâtre de la Vallée plonge ses personnages dans l’enfer de Stalingrad, de la Loubianka et des camps d’extermination nazis, pour une lecture contemporaine d’un chef d’œuvre dénonçant le totalitarisme et la guerre.