
C’est, dans la ville de Cézanne, la 19e édition des Rencontres du 9e art, au cours desquelles huit artistes programmateurs donnent le ton d’une manifestation qui, avec plus de trente auteurs invités, témoigne de la vitalité de la création.
C’est, dans la ville de Cézanne, la 19e édition des Rencontres du 9e art, au cours desquelles huit artistes programmateurs donnent le ton d’une manifestation qui, avec plus de trente auteurs invités, témoigne de la vitalité de la création.
Au Centre Pompidou, près de 200 œuvres participent à la rétrospective de cette artiste qui, au XXe siècle, a magnifiquement poussé la sculpture dans ses derniers retranchements.
Anne Clotilde Rampon et Idir Chender ont coécrit N’habite plus à l’adresse indiquée, qu’ils annoncent comme une « comédie contemporaine ». L’argument
La Bibliothèque publique d’information du Centre Pompidou met en lumière la quête du « mot exact », chez cet artiste complet, auteur de plus de 500 chansons, qui a cultivé la langue française avec un amour sourcilleux.
De jeunes viticulteurs s’installent, profitant d’un prix du foncier encore très accessible, sur des terrains permettant un encépagement plus adapté au changement climatique.
« J’ai enseigné le poker à mon chien. Malheureusement, il ne gagne jamais. Car, à chaque fois qu’il a un bon jeu, il bat de la queue. » Inscrit dans un club d’échecs, le canidé Mick, lui, ne tenta même pas un coup.
Avec Terminus Malaussène, Daniel Pennac clôt un cycle de romans ouvert il y a près de quarante ans. Une saga au centre de laquelle il avait placé un personnage au métier des plus inattendus : bouc émissaire professionnel.
Le violoniste Jean-Jacques Kantorow réhabilite le compositeur italien Alfredo d’Ambrosio, injustement tombé dans l’oubli.
Le grand roi résout le litige qui oppose deux femmes pour un bébé, puis rencontre avec la reine de Saba. Et le compositeur allemand en tire un somptueux oratorio, à redécouvrir.
Nicolás Ferraro lance, sur la piste de dodus pains de cocaïne perdus dans la cambrousse, une meute de trafiquants, de paysans, de traînes-savates... et un tueur à gage. Et Michèle Pedinielli nous régale avec le retour de Diou Boccanera, confrontée à d’ex-« chiens sans collier », francs-tireurs de la guerre de classe dans l’Italie des années de plomb.
La mythique ville d’Égypte, fondée par Alexandre le Grand, conquise des siècles plus tard par Bonaparte, alternant grandeur et décadence, est explorée face à la mer, jusque dans ses « futurs antérieurs ».