Le Petit Palais, en exposant une centaine de peintures, de dessins et d’estampes de cet artiste, fêté de son vivant, méconnu de nos jours, révèle sur une grande échelle ce maître du temps des Lumières salué par Diderot.
Le Petit Palais, en exposant une centaine de peintures, de dessins et d’estampes de cet artiste, fêté de son vivant, méconnu de nos jours, révèle sur une grande échelle ce maître du temps des Lumières salué par Diderot.
Nasser Djemaï a remis sur le métier Vertiges, sa pièce de 2017, qu’il oriente résolument, cette fois, vers l’histoire d’un transfuge de classe revenu dans un quartier où tout a changé.
Le Musée du Luxembourg présente 130 œuvres de ce type de peinture, que ce maître de l’abstraction a pratiqué à plusieurs étapes de sa longue vie de création.
Uxía Martínez Botana casse les codes du quatuor à cordes en remplaçant un des deux violons par sa monumentale cousine. Et rend un hommage vibrant à Mendelssohn, à travers plusieurs morceaux illustrant la vie du compositeur.
Pour s’être vengée d’un violeur, Élisabeth Dubreuil doit fuir la Louisiane et rejoindre la jeune République d’Haïti, dont sa grand-mère était originaire. Yanick Lahens tisse son roman de magnifiques portraits de femmes rebelles, armées de silences et d’une commune détermination.
Le Grand Palais et le Centre Pompidou ressuscitent la rencontre bénéfique qui eut lieu, au siècle dernier, entre le couple d’artistes rebelles formé par Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, avec l’exceptionnel homme de musée que fut Pontus Hultén.
C’est dans le respect des lignes architecturales du maître, et avec beaucoup de grâce, que le duo formé par la pianiste Célia Oneto Bensaid et le flûtiste Julien Beaudiment réinterprète ses plus grands airs.
L'actualité des arts et spectacles, et la chronique cinéma d'Options.
À Montreuil, dans le centre d’art contemporain qui porte son nom, hommage est rendu au dessinateur de presse assassiné, le 7 janvier 2015, dans les locaux de Charlie hebdo.
Des enfants et adolescents tentant d’échapper à une secte cachée dans la montagne ; une famille épouvantée dans un chalet perdu dans les bois… Avec ses deux premiers romans, Vera Buck emmène le polar aux confins du fantastique.
Longtemps effacé, ce maître lorrain du XVIIe siècle, aujourd’hui célébré à sa juste hauteur, fait l’objet, avec une vingtaine de tableaux, d’une exposition éclairante au musée Jacquemart André.
Dans les années 1960-1970, il fut un des grands noms du monde échiquéen aux Pays-Bas. Forte tête, engagé en faveur du Vietnam, chroniqueur de presse, il fut aussi un bel écrivain.