Une bande de bras cassés et de placardisés du contre-espionnage britannique volent au secours d’une secrétaire alcoolo de leurs amies, indispensable au service. Toujours aussi porté sur la satire sociale, c’est déjà le 3e opus que Mick Herron dédie à ses attachants anti-héros.
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Une bourgade perdue dans le blizzard des Alpes ; une ville portuaire du Maryland des années 1920… Et à un siècle de distance, la même fureur hideuse de la foule, dépeinte avec noirceur par Sébastien Vidal et Don Tracy.
Cécile Coulon dépeint un inquiétant hameau, où un guérisseur se frotte à de dangereux secrets. Quant à Pierric Bailly, il plante sur les flancs du Jura une histoire d’amour aussi inattendue qu’irrésistible.
Un personnage et un univers récurrents… Si l’alchimie fonctionne, cela peut donner une saga à succès. La preuve avec les derniers opus de Max Monnehay, Simone Buchholz, Mercedes Rosende et Valerio Varesi.
Un juif roumain se voit assigner une mission impossible par un démon, dans un XXe siècle infernal ; une jeune Iranienne qui dresse le poing en criant « Femme, vie, liberté » ; un homosexuel iranien qui songe à devenir femme pour avoir le droit d’aimer ; un Napolitain incarcéré qui raconte sa vie cabossée par le menu… Quatre personnages denses qui émergent de la rentrée littéraire.
Les ouvrages qui poussent au fou-rire sont rares. Souvent ils font juste sourire, divertissent, et se montrent efficaces en cela. Et parfois, ils sont bien plus profonds qu’il n’y paraît.
Un genre aussi porté sur la critique sociale que le roman noir devait fatalement, après le passé et le présent, faire feu sur le futur. Une veine nouvelle affleure, de laquelle Hervé Le Corre extrait une contribution décisive avec Qui après nous vivrez.
Une enquête criminelle dans l’immensité et la fureur de la guerre du Pacifique ? James Kestrell relève le défi et signe un pur chef d’œuvre. On redécouvre également, en réédition, la grande plume d’Eric Ambler, qui révolutionna le roman policier dans les années 1930.
Elle leur a promis de l’aide mais n’a pas transmis l’alerte ; ils sont morts en mer. Autour d’un fait tragique, Vincent Delecroix a écrit une fiction poignante sur la « banalité du mal ». Refusant la tentation du bouc émissaire, il interroge toute la société.
Le comédien a tiré un livre de la maladie auto-immune dont il souffre : « Le son du mot alopécie ressemble à une petite laine qu’on met sur soi, les premiers jours d’automne. « “Mets donc ton alopécie, mon chéri, il y a du vent.” »
En pleine débâcle du IIIe Reich, une jeune Française et son enfant, fils d’un soldat allemand, atterrissent dans une pouponnière nazie. Solidement documentée, Caroline De Mulder nous fait vivre le quotidien d’une de ces maternités imaginées pour régénérer la race aryenne.
Ce volumineux récit semi-autobiographique avait fourni au cinéaste italien la trame d’Il était une fois en Amérique. Il vient seulement d’être traduit en français, et on s’en régale, sans s’interdire le jeu des comparaison avec le film.