
Sous la forme d’un labyrinthe, l’exposition du Centre Pompidou répertorie les phases successives et les obsessions du mouvement, qui a durablement prouvé que « l’œil existe à l’état sauvage ».
Sous la forme d’un labyrinthe, l’exposition du Centre Pompidou répertorie les phases successives et les obsessions du mouvement, qui a durablement prouvé que « l’œil existe à l’état sauvage ».
La première fois où le champion du monde fut vaincu par l’intelligence artificielle… La série télévisée Rematch retrace cet événement en prenant quelques libertés romanesques. Comment cela s’est-il réellement passé ?
Au Studio Hébertot, la comédienne Catherine Pietri s’empare des mots de Barbara, tirés de son livre Il était un piano noir, dans lequel elle a révélé toute sa force d’âme.
La guerre civile qui déchira le pays pendant la « décennie noire » des années 1990 inspire à Kamel Daoud un roman à la première personne, autour d’une rescapée du massacre de Had Chekala. Un livre coup de poing, pour faire remonter une mémoire proscrite par la politique de réconciliation nationale.
Cette artiste, à la croisée du cirque, du cinéma, de la danse et du théâtre, parvient à créer, dans Ombres portées, un univers acrobatique autour d’une réflexion aiguë sur la quête d’identité et la construction de soi.
Un papi tueur rongé par Alzheimer qui sauve une femme désespérée ; une mamie en cavale qui se planque dans un mobil-home avec un voyou des beaux quartiers… Chacun à leur manière, Benoît Philippon et Pascale Dietrich racontent des tête-à-tête savoureux, transgénérationnels, foutraques et solidaires.
Jusqu’au mois de janvier, « Chroniques », la Biennale consacrée à toutes les formes d’art liées aux technologies, a lieu à Aix-en-Provence, Marseille, Avignon, Arles et Istres.
La pièce mise en scène par Liza Guez s’inspire d’une pratique thérapeutique passant par le corps et par le jeu pour mettre les souffrances psychiques à distance.
Tout juste bachelière, la pianiste monégasque Stella Almondo éblouit par son doigté. Son premier enregistrement est un concentré de romantisme russe, rendant notamment un hommage appuyé au trop méconnu Félix Blumenfeld.
Carlo Gesualdo, prince italien de la Renaissance, avait bien des crimes à expier. Se tournant vers la musique sacrée, il a conçu des madrigaux audacieux, imprégnés de douleur, d’amour, de mort. Philippe Herreweghe en restitue à merveille l’atmosphère hallucinée.