
Fairy Queen de Purcell, La Tempête, de Beethoven, Otello de Verdi, Le Songe d’une nuit d’été de Mendelssohn, Roméo et
Fairy Queen de Purcell, La Tempête, de Beethoven, Otello de Verdi, Le Songe d’une nuit d’été de Mendelssohn, Roméo et
Au Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, 140 de ses œuvres racontent cinquante ans d’une carrière placée sous le signe de la patience et du long temps de pose.
Il est né deux mois avant Schubert, en novembre 1796, sa renommée était l’égale de celle de l’auteur de La
Joueur cosmopolite, engagé et rescapé des pires tragédies du XXe siècle, Savielly Tartakover a laissé sa trace dans l’histoire des échecs en inventant, à la demande de ses hôtes barcelonais, une ouverture inédite.
Au musée de Montmartre, on refait le parcours d’un peintre encore méconnu, parti du postimpressionnisme, tenant du fauvisme puis du cubisme, qui finit en pionnier de l’art abstrait.
Au théâtre Essaïon, Jean-Baptiste Artigas joue et met en scène La Chute, adaptation du roman paru en 1956, un an avant que son auteur ne reçoive le prix Nobel de littérature.
La comédienne Hélène Arié, à partir du chef-d’œuvre littéraire de James Joyce, fait la part belle à Molly, moderne Pénélope.
Deux cents ans après la « rencontre » de Mendelssohn avec Bach, Christopher Jackson reprend son adaptation de la "Passion selon saint Matthieu". Mais quel dommage d’en avoir écarté certains des plus beaux chants.
Une bande de bras cassés et de placardisés du contre-espionnage britannique volent au secours d’une secrétaire alcoolo de leurs amies, indispensable au service. Toujours aussi porté sur la satire sociale, c’est déjà le 3e opus que Mick Herron dédie à ses attachants anti-héros.
Dans le Bassin d’Arcachon on garde les « Cadences » Du 17 au 22 septembre, ce festival reflétant la pluralité de l’expression chorégraphique accueille des compagnies renommées et des artistes dits émergents.